Pierre Faillant de Villemarest (1922-2008), était un résistant, membre des services de contre-espionnage français, devenu journaliste et écrivain, spécialiste des relations internationales, ancien Agent du Contre-Espionnage dénonce le Nouvel Ordre Mondial
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Pierre Faillant de Villemarest nous a quittés en 2008. C’est donc l’occasion de rappeler qui il était, les informations qu’il délivrait, ses idées, tout en lui rendant un modeste hommage. Sans chercher à faire pleurer dans les chaumières, juste souligner son valeureux parcours de résistant et son salutaire travail d’écrivain journaliste.
Résistant au régime nazi en 1940, Pierre de Villemarest fut ensuite officier de l’Armée secrète et membre du service de contre-espionnage français. Il fut le co-fondateur de la Dernière colonne engendrant la libération et décoré de la Croix de guerre 39-45. Dans le registre d’Antony Sutton, il se spécialisa dans les relations internationales, et plus précisément sur les pays évoluant sous la domination soviétique communiste. Le principe philosophique hégélien était simple. En effet, la fameuse guerre froide USA-URSS ne fut qu’une fumisterie prouvée par le financement des deux régimes. « Communisme-capitalisme, même système pour contrôler » aurait pu lui souffler Mathias Cassel il y a encore quelques années. Un système appelé clairement synarchie, pierre angulaire du complot mondial qui se trame en coulisse. Et ces coulisses sont ce qui intéressa le plus cet ancien résistant bourguignon né à Chalon-sur-Saône et décédé 85 ans plus tard.
Toujours dans le registre de Sutton et Quigley qu’il n’hésitait pas à citer, de Villemarest informa sur des vérités trop souvent méconnues du grand public. Sur le financement du communisme, puis du nazisme, la complicité soviéto-nazie mais aussi la guerre russo-japonaise soutenue par la banque Kuhn, Loeb and Co. Autant d’évènements passés dans l’ignorance générale et le mensonge médiatique universel.
A la différence de Thierry Meyssan, il n’était pas protégé par un camp (la Russie) pour en dénoncer un autre sans décortiquer les fils du Nouvel Ordre Mondial. Notion qu’il ne manquera pas de souligner dans une lettre adressée au Réseau Voltaire où il dira aussi qu’il n’était pas négationniste mais qu’il possédait « des chiffres sur l’holocauste ne correspondant pas à ceux habituellement cités à propos de tous les déportés ».
Outre ses livres, cet écrivain auteur d’une bonne vingtaine de bouquins dévoilait ses thèses dans une lettre d’information confidentielle au sein du Centre européen d’information (CEI) qu’il avait lui-même créé en 1972. Il étudia aussi la construction européenne -via Jean Monnet notamment- et surtout les célèbres think tanks CFR, Bilderberg et Trilatérale où se dessinent, en toute discrétion, les contours mondialistes : le Nouvel Ordre Mondial.
Que la jeunesse d’aujourd’hui se disant rebelle, résistante voire dissidente s’imprègne de son exemple.
Paix à son âme.