https://www.youtube.com/watch?v=nRXD8zY9AAY&index=55&list=PL0E36675F83995F43
Alexander Kiriyatskiy: ORIGINE DE TOUT NOTRE COSME
http://m310014.uqam.ca/DeKiriyatskiy.pdf
L’idée des mondes plus parfaits est préférée par Dieu,
Leurs dix sept courtes dimensions sont connectées bien mieux
Que trois métriques du mal cosmique: au temps pour être vieux
Et décéder dans leur futur sans connexion des lieux.
Car dans cinquante milliards tours d’années, viendra la mort,
Vite se perdront nos molécules, il ne sera nul corps:
Dont les distances entre eux vaincront ce sens plus fort
Des Trous Noirs qui se cacheront par les derniers rapports.
La perfection de leurs parties se trouve dans toutes les sphères
Leurs évidences se pratiquent dans chaque point pour les faire
Cette paix réelle des contredits, tiennent une lumière sans guerres,
Il est possible d’ajourner la fin de l’univers.
Ses Trous Noirs n’ont aucune distance
Entre nos particules fidèles,
Qui ont, à l’ordre, la puissance
De leur donner l’union partielle
Avec ses mondes d’Absolu…
Années, quatorze milliards! Dans
L’une de ces sphères, aviez voulus
Dire l’infini à un mutant
De nul espace. Par aucun temps,
La belle vitesse du haut salut
A fait unir l’ordre présent
Passé pour son prochain non lu.
Nos galaxies sont temporelles,
Elles naissent du minimum. L’enfance
Du diable explosait leur ciel
Aux six milliard d’années, aux chances:
Avant cette explosion des rames pour notre crise d’espace,
L’autre présent n’a nul passé, car il n’a rien qui passe,
Où il n’existe pas danger des êtres qui menacent
À l’harmonie et chaque sa place domine surtout en face.
Alors dix sept mesures plus dures ont figuré ce fond
Plus grand que notre univers dans un petit neutron…
Les opposés ne se battent pas, où tous ensembles n’ont
Rien impossible de ce règne à nulle frontière du Bon.
En milliard fois, sa quantité des forces dominait
Sur notre nombre de matières perdues par leurs années.
À l’intérieur, tous nos atomes sont vides. Ceux-ci sont nés
Sous l’énergie noire de ses souches qui tentent d’éloigner
Ses électrons et nos protons.
Par la faiblesse des formes,
Les galaxies disparaîtront.
L’obscurité énorme
Fera éteindre nos étoiles
Dans le futur. Leur but
Élargira l’abîme spatial
Qui nous approche des chutes,
Où nos gravitations grosses luttent
Que l’unité soit maximale.
Son signe «minus» casse toutes leurs routes
Qui le conduisent à l’un idéal
Que notre astre dorme
Des cinq milliards d’années au trône
De l’homme. Encore, comme l’orme,
Que se grandisse l’humaine personne.